Ai Weiwei compte parmi les artistes les plus importants et influents de ces dix dernières années.
Fils du célèbre écrivain Ai Qing, est né en 1957 à Pékin. Il a émigré en 1983 aux Etats-Unis où il a
découvert le ready-made de Marcel Duchamp et le pop art d’Andy Warhol.
À son retour en 1993, il s’est mis à développer son oeuvre tout en s’engageant en faveur de ses
collègues artistes chinois, par des activités curatoriales et de publication dans le secret de
l’underground. Emprisonné en raison de critiques de la politique chinoise, notamment de l’occultation
de la catastrophe humanitaire suite au tremblement de terre au Sichuan en 2008.
Relâché après des protestations dans le monde entier il entretient son travail sculptural, il réactive et
détourne les traditions artisanales chinoises tout en parodiant le pop art ou la sculpture minimale
américaine. Avec les moyens de la photographie et du film, il tente d’enregistrer les transformations
des cités et des mouvements de population. Prolifique et engagé, utilisateur virtuose des réseaux sociaux, Ai Weiwei mêle habilement art, vie privée et engagement politique.
Le premier kimono serait arrivé en Europe au XVIIe siècle. En effet, une centaine de kimonos ont
été achetés en cadeau par des commerçants hollandais et portugais.
La population fut immédiatement fascinée par ces pièces de vêtements mystérieuses et la nouvelle
mode ainsi que le nouveau style qu’ils représentaient. Au fil du temps, des éléments du design et de
la coupe du kimono ont été assimilés par certains styles européens. Ces éléments se retrouvent dans
les robes de chambre du XVIIe siècle, les robes de cérémonie du XVIIIe siècle et les robes de soirée
au début du XXe siècle.
Les kimonos étaient au départ des robes de chambre, puis sont devenus à la mode pendant un
temps, s’intégrant à la mode baroque qui a connu son apogée à cette époque.
La tendance va à la Gard de robe de nuit, une variation sensuelle avec dentelles et effet nuisette
que l’on arbore en plein jour dorénavant. Élégance boudoir devenant d’élégantes robes en soie ultra
EN SAVOIR PLUS SUR…
05 Mai, 2023
LE KIMONO EN OCCIDENT.
Le premier kimono serait arrivé en Europe au XVIIe siècle. En effet, une centaine de kimonos ont
été achetés en cadeau par des commerçants hollandais et portugais.
La population fut immédiatement fascinée par ces pièces de vêtements mystérieuses et la nouvelle
mode ainsi que le nouveau style qu’ils représentaient. Au fil du temps, des éléments du design et de
la coupe du kimono ont été assimilés par certains styles européens. Ces éléments se retrouvent dans
les robes de chambre du XVIIe siècle, les robes de cérémonie du XVIIIe siècle et les robes de soirée
au début du XXe siècle.
Les kimonos étaient au départ des robes de chambre, puis sont devenus à la mode pendant un
temps, s’intégrant à la mode baroque qui a connu son apogée à cette époque.
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sociaux, Ai Weiwei mêle habilement art, vie privée et engagement politique.
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que l’on arbore en plein jour dorénavant. Élégance boudoir devenant d’élégantes robes en soie ultra
sexy déclinées sous toutes les coutures. On peut y trouver également un jeu de lingerie en dentelle,
transparentes. Une tendance luxuriante d’auto-séduction.
Chinois ou japonais, l’origami, un art du pliage né au VIème siècle : aujourd’hui encore une
source d’inspiration pour les designers. Pas étonnant donc que le plissé
Cette tendance est traitée par le travail sur les manches et épaules, oversizes, ronde tout en volume.
Sans oublier la présence de plissés, drapé sur celle-ci. C’est l’alliance entre les nouvelles formes, les
lignes fluides puis élégance et le mouvement
Chinois ou japonais, l’origami, un art du pliage né au VIème siècle : aujourd’hui encore une
source d’inspiration pour les designers. Pas étonnant donc que le plissé
Cette tendance est traitée par le travail sur les manches et épaules, oversizes, ronde tout en volume.
Sans oublier la présence de plissés, drapé sur celle-ci. C’est l’alliance entre les nouvelles formes, les
lignes fluides puis élégance et le mouvement
La tendance va à la Gard de robe de nuit, une variation sensuelle avec dentelles et effet nuisette
que l’on arbore en plein jour dorénavant. Élégance boudoir devenant d’élégantes robes en soie ultra
sexy déclinées sous toutes les coutures. On peut y trouver également un jeu de lingerie en dentelle,
transparentes. Une tendance luxuriante d’auto-séduction.
Minjae Lee est un jeune artiste autodidacte, née en 1989, vivant en Corée du Sud. Ses
dessins de visages audacieux et colorés, semblables à des collages, sont incroyablement
détaillés. Minjae n’utilise que de l’encre et des marqueurs de couleur pour créer ses superbes
oeuvres.
À 23 ans, les oeuvres de Minjae Lee rencontrent un grand succès auprès des collectionneurs privés
de tous les continents. Il s’inspire des gens, des émotions, de la nature.
Fan de mode notamment de John Galliano ses dessins sont pleins de modèles de femmes combinés
avec un style de mosaïque abstraite colorée sur un fond black&white. Devon Aoki fut partie de ses
femmes qui ont inspirée l’artiste. En effet, proche collaboratrice du styliste, elle pue devenir la muse de
Minjae Lee.